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Découverte des start-up incubées, actualités institutionnelles, retour sur les événements passés et conseils pratiques pour vous lancer dans l’entrepreneuriat : c’est ici que vous passerez en revue toute l’actu’ de la Technopole de l’Aube en Champagne et de l’univers entrepreneuriat/innovation à Troyes.

                

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19 juin 2024

Lancement du Cluster Innovation Web3\IA

Au début de l’année 2024, les bonnes nouvelles se sont enchaînées pour la Technopole de l’Aube en Champagne ! Au niveau national, nous avons eu le plaisir d’apprendre que le label « Technopole » accordé par Retis a été renouvelé. Au niveau régional, c’est le label Incubateur d’Excellence accordé par la Région Grand Est qui a également été renouvelé.

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19 juin 2024

A la découverte de la start-up… Maat Data !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Trouver des solutions pour optimiser le tri et le recyclage, c’est la mission de Valentin Millot avec Maat Data. C’est quoi ta start-up ? Chez Maat Data, on développe des logiciels et des applications mobiles à destination du secteur du tri et du recyclage des déchets. Parle-nous de ton innovation ? L’innovation dans ce secteur réside dans notre capacité à venir stimuler le taux de collecte, au travers d’applications, comme notre premier projet Savaoo, qui viennent stimuler le taux de collecte de tous les déchets du quotidien. Tes expertises avant d’être incubé ? Je viens du monde du recyclage, j’étais responsable commercial. C’est de là que nous est venue l’idée avec mon associée Laure de créer cette start-up, pour venir régler un constat métier. Un constat de base, c’est que nos déchets ne sont pas suffisamment collectés pour être recyclés. Que t’apporte notre accompagnement ? Je suis incubé depuis la création de Maat Data il y a bientôt 4 ans. La technopole m’a énormément apporté autour de notre stratégie de communication. Elle nous a aidés à aller toucher des grands médias nationaux pour Savaoo. Elle nous a aussi aidés à nous structurer, à aborder des questions de levées de fonds… Les prochaines évolutions dans ton secteur ? Les prochaines évolutions qui vont arriver sont l’intelligence artificielle et la reconnaissance photo et vidéo. On utilise depuis toujours le machine learning mais les dernières avancées permettent des choses encore plus phénoménales. En une simple photo on pourra dorénavant faire le diagnostic d’un objet du quotidien et savoir s’il est réparable ou si on doit le mettre à recycler. Tes peurs avant d’entreprendre ? J’avais la crainte de la jeunesse, de manquer d’expérience. C’est une crainte que j’ai totalement dépassée grâce aux conseils de la Technopole, des experts et aussi de mes associés. J’ai pu aller au-delà de ça et développer mes compétences. Aujourd’hui, je me sens totalement épanoui et je n’ai plus peur de manquer d’expérience ou de quoique ce soit pour relever de nouveaux challenges. Ton dernier succès/flop ? Le dernier succès ça a été un contrat à envergure nationale pour le projet Savaoo avec le groupement Les Mousquetaires. On a pu déployer la solution dans 2 200 points de vente, on a permis le recyclage de 20 000 déchets et on a touché 30 000 utilisateurs en l’espace de 6 mois. En revanche, le dernier flop est le fait que l’on n’ait pas renouvelé le contrat avec le groupement Les Mousquetaires. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? On peut entreprendre pour être libre, pour pouvoir gérer soi-même ses projets, pour continuer de rêver… Entreprendre parce que c’est stimulant et que ça nous rend vivant. Entreprendre dans l’Aube parce qu’il y a tous les outils, on est à proximité des grandes villes donc on a tout l’écosystème qui est paré pour. Ici à Troyes, on est dans une ville qui est à taille humaine ; partager avec les autres c’est un des […]

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18 juin 2024

A la découverte de la start-up… Tanama !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Associer mobilier durable et bien-être au travail, c’est le défi d’Emeline Bosset, fondatrice de la start-up Tanama.  C’est quoi ta start-up ? Tanama c’est du mobilier durable pour la santé des travailleurs.  Parle-nous de ton innovation ? C’est du mobilier ergonomique qui s’adapte aux nouveaux modes du travail qui ont récemment beaucoup changés. L’innovation se tient aussi dans la fabrication qui se veut durable et écologique.  Tes expertises avant d’être incubée ? Je suis designer de formation. Mon expertise est dans la création de produits pour répondre à un besoin existant sur le marché.  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Je suis accompagnée par la Technopole depuis mars 2023 et ça m’a apporté un complément de connaissance sur la gestion d’entreprise et le développement d’un business. Les prochaines évolutions dans ton secteur ? Le mobilier de bureau génère 250 000 tonnes de déchets chaque année. L’évolution va être de traiter ces déchets et d’en faire de nouveaux mobiliers en les transformant, en utilisant l’éco-conception et des modes de fabrication innovants, ce qui fait partie de l’évolution de Tanama. Tes peurs avant d’entreprendre ? Avant d’entreprendre j’avais peur de me lancer avec une marque puisque je suis designer et maitrisais uniquement la partie création de produit.   Ton dernier succès/flop ? Le dernier succès c’est au lancement du bureau de télétravail Tanama que j’ai présenté lors du salon WorkSpace Expo et où nous avons eu beaucoup de retours positifs et c’était super pour commencer. Le dernier flop est aussi associé au lancement qui s’est fait avec un financement participatif en crowdfunding et l’outil n’était pas forcément adapté, donc ça n’a pas marché. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’Aube est un territoire à taille humaine. C’est assez facile de se faire un réseau et de rencontrer les bonnes personnes morales et physiques pour développer son entreprise.  Un mot pour un futur entrepreneur ? Osez entreprendre, osez développer votre idée. S’il y a des choses que vous ne savez pas faire au début, vous apprendrez à les faire en cours de route !   Retrouvez l’interview vidéo de Emeline, fondatrice de la start-up Tanama, ci-dessous. 

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17 janvier 2025

A la découverte de la start-up… Doddee !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. Gaëlle Schaller-Texier présente sa solution logicielle d’intégration de RSE pour les TPE et PME avec Doddee. C’est quoi ta start-up ? Doddee c’est un logiciel qui a été créé pour faciliter l’accès à la RSE aux petites et moyennes entreprises, qui les aide à faire prospérer leur activité tout en améliorant leur impact social et environnemental. Parle-nous de votre innovation  ? Aujourd’hui, aucune solution logicielle n’a été créée pour répondre aux enjeux des TPE et PME françaises, c’est donc pour répondre à leurs problématiques que nous avons conçus Doddee. C’est est une solution qui centralise tous les outils qui vont permettre à n’importe quel type d’entreprise d’accéder à un diagnostic en ligne, un plan d’action personnalisé, à des conseils actionnables réalisés par des experts, et à des outils de communication qui vont leur permettre de certifier et de valoriser leurs bonnes pratiques. Ca t’apporte quoi notre accompagnement ? Ça fait environ un an que la Technopole nous accompagne, puisqu’elle a été là de l’idéation jusqu’à la création de la société. J’ai eu la chance de participer à Plug&Start qui m’a ensuite ouvert la voie au parcours de pré-incubation, et aujourd’hui nous avons nos bureaux au sein de la Technopole. On a la chance de bénéficier de soutiens précieux et d’un réseau d’experts bienveillants. Tes peurs avant d’entreprendre ? Plutôt que des peurs, je dirai que c’était un véritable défi, celui de concilier vie perso et vie pro, un équilibre qui se construit en permanence et qui nécessite de l’anticipation, de l’organisation, d’apprendre à déléguer et aussi à s’accorder du temps. Les prochaines évolutions dans ton secteur ? La prochaine grande évolution technologique dans notre secteur, forcément, c’est l’intégration de l’intelligence artificielle à la RSE. C’est un sujet émergent. On se questionne d’ores et déjà sur son intégration au sein de notre logiciel mais avec une approche réfléchie. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? Alors étant auboise je dirai déjà qu’on a un cadre et une qualité de vie qui sont propices à l’équilibre vie pro et vie perso. On a la chance de vivre dans un environnement entrepreneurial dynamique avec des acteurs, un écosystème, un département et une région qui sont hyper soutenants. Un mot pour un futur entrepreneur ? Je vais répéter ce qu’on m’a dit au départ : ne reste pas seul.e et entoure-toi au plus vite parce que c’est ce qui a tout changé pour Doddee et pour moi. Un entrepreneur pour le prochain Inside start-up ? L’équipe de Médée bien sûr ! Retrouvez l’interview de Gaëlle, fondatrice de la start-up Doddee, ci-dessous.

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05 janvier 2025

A la découverte de la start-up… VASA !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.  Jean-Sébastien Lefèvre, le CEO et fondateur de VASA, une solution d’optimisation des tâches quotidiennes des experts-comptables. C’est quoi ta start-up ? On est une start-up spécialisée sur les questions de conformité en protection sociale des TPE et PME. Concrètement, on travaille avec les cabinets d’expertise comptable pour assurer leur devoir de conseil pour leurs clients chefs d’entreprise. On les aide sur l’ensemble des sujets de conformité liés aux complémentaires santé prévoyance et notamment les actes juridiques qui en découlent. Tes expertises avant d’être incubé ? Je suis un ancien agent des assurances, je travaillais chez AXA, et ensuite j’ai travaillé dans un grand groupe mutualiste qui s’appelle AESIO. Ca t’apporte quoi notre accompagnement ? Ça fait plus de 4 ans maintenant qu’on est accompagnés par la Technopole de l’Aube en Champagne. Une des difficultés qu’il y a eu dans la création de VASA, c’est le fait d’être seul. Là se trouve l’intérêt de rejoindre un écosystème, rencontrer un certain nombre de personnes et éviter un certain nombre d’erreurs, récupérer des feedbacks aussi. L’accompagnement c’est un élément qui est extrêmement précieux pour pouvoir développer une activité, surtout dans le cadre de l’innovation. Tes peurs avant d’entreprendre ? Alors je vais peut-être être un petit peu orgueilleux, mais je pense qu’il n’y avait pas vraiment de sujet de peur, et heureusement qu’il n’y en avait pas parce que rétrospectivement je pense qu’il faut être un peu fou pour lever ce genre de challenge ! Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’idée c’est de pouvoir réaliser quelque chose qui nous tient à cœur. Entreprendre dans l’Aube va vous laisser le temps de grandir, de comprendre votre marché et, par ailleurs, vous n’êtes pas si éloignés de la région parisienne, ce qui vous permet aussi d’accéder à tout l’écosystème parisien. Au niveau des coûts pour pouvoir vous lancer dans l’entrepreneuriat, c’est plus faible. Les futures étapes pour ta start-up ? Ça va être des étapes très proches puisque concrètement on a d’énormes partenariats qui sont en cours de négociation, qui risquent de multiplier notre activité par 10 puis par 100. Donc il va falloir être en capacité d’absorber l’ensemble de ces éléments. Un mot pour un futur entrepreneur ? Je reprendrai une phrase bien connue qui consiste à dire : à partir du moment où vous avez un « pourquoi » suffisamment fort, vous pourrez réussir avec n’importe quel « comment ». Retrouvez l’interview de Jean-Sébastien, fondateur de la start-up VASA, ci-dessous.

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18 octobre 2024

A la découverte de la start-up… Inöuqa !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.  Camille Losset, avec Inouqa, vise à promouvoir l’autonomie des enfants avec un jeu de construction géant. C’est quoi ta start-up ? Inöuqa c’est un jeu de construction géant pour les enfants de 3 à 9 ans. C’est un jeu modulable qui permet de construire des cabanes sans mode d’emploi. C’est pour stimuler l’imagination, la motricité et l’autonomie des enfants. Parle-nous de ton innovation ? Alors Inöuqa est une innovation puisqu’il y a des choses qui existent aujourd’hui, des jeux de construction qui sont parfois complexes : avec des tiges en bois, des petits bouts à mettre et donc sans les parents l’enfant ne peut pas jouer, donc nous on avait vraiment envie d’apporter une solution qui soit comme magique et que l’enfant puisse l’utiliser tout seul. Tes peurs avant d’entreprendre ? J’avais pas mal d’appréhensions à entreprendre. Ce qui est plus simple aujourd’hui chez Inouqa, c’est que c’est une start-up familiale puisqu’on est deux cofondateurs : mon mari Benoît et moi-même. Je pense qu’entreprendre à deux est quand même plus facile, mais ce n’est pas toujours évident d’entreprendre en couple, puisqu’il faut être capable de ne pas tout mélanger et de bien se répartir les tâches. Ça c’est une peur qu’on avait avant. On connaissait nos forces, notre complémentarité et je pense qu’aujourd’hui on a réussi à structurer l’entreprise et à chacun avoir ses responsabilités pour que finalement cette appréhension soit dissipée. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? La meilleure raison d’entreprendre c’est d’être satisfait du travail accompli. Je pense qu’aujourd’hui si l’entreprise fonctionne c’est en partie grâce à notre travail mais en même temps si l’entreprise ne fonctionne pas c’est à cause de nous. Pouvoir être en charge de son succès c’est super enrichissant. Entreprendre ça vous permet aussi de toucher à tout. Moi je sais que j’ai une nature de couteau suisse et j’avais besoin d’avoir un quotidien varié. Et entreprendre dans l’Aube particulièrement, parce que c’est un territoire super dynamique et surtout très bienveillant. Et surtout on se sent écouté, on n’est pas dans un brouhaha de start-up où on ne sait pas à qui parler. Un mot pour un futur entrepreneur ? Il y a une citation d’Albert Einstein que j’aime beaucoup : “Au sein de toutes les difficultés se cache toujours une opportunité”. Je pense que ce qui est très important c’est de réussir à comprendre que lorsqu’on entreprend ça va être difficile, il va y avoir des ratés, il va y avoir des choses qui ne vont pas se passer comme prévu. C’est le lot de toutes les start-up et de tous les entrepreneurs aujourd’hui. Mais il faut réussir à ne pas lâcher, à ne pas baisser les bras. On a tous parfois envie de se dire « je passe à autre chose, je ne le fais pas, c’est une mauvaise idée”. Mais il ne faut pas faire ça. Et peut-être un deuxième conseil : entreprendre à plusieurs c’est toujours plus facile. En tout […]

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18 octobre 2024

A la découverte de la start-up… Coyali !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.  Rendre le numérique accessible par la technologie, c’est l’engagement de Pauline Beuchillot, co-fondatrice de Coyali. C’est quoi ta start-up ? Pauline Beuchillot, je suis co-fondatrice de Coyali. C’est une solution pour simplifier l’utilisation des outils numériques pour les personnes qui rencontrent des difficultés dans leur utilisation. Parle-nous de ton innovation ? Coyali c’est une innovation parce qu’aujourd’hui il y a beaucoup de solutions qui existent, mais qui sont des solutions matérielles dans la simplification des outils numériques. Nous on est une des premières solutions “logiciel” qui propose aussi l’aide à distance ou par les proches. C’est en ce sens qu’on est différenciants et innovants. Tes expertises avant d’être incubé ? Avant d’être incubée à la Technopole de l’Aube en Champagne j’ai fait du conseil pendant trois ans, notamment accompagner des grands groupes dans leur transformation digitale et créer de l’innovation en interne. J’ai un peu rassemblé les deux compétences, les deux expertises aussi et je les ai mises au service du projet Coyali. Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Vous apportez déjà une structure, un accompagnement sur les premiers pas dans l’entrepreneuriat : comment structurer un business plan, comment structurer son marché, préparer les documents structurants pour aller chercher des premiers financements, et surtout des mises en relation avec le réseau de professionnels qui gravitent autour de la Technopole, des autres entrepreneurs qui nous partagent leurs expériences. C’est ce qui nous a beaucoup aidé pour le démarrage.  Les prochaines étapes pour ta start-up ? Les prochaines étapes de Coyali : la première c’est la sortie de notre nouvelle version de l’application. Jusqu’à présent, on avait une interface simplifiée pour les personnes en difficulté avec le numérique, et une application qui permet d’aider à distance son proche : c’était indissociable. Là on est en train de sortir une version qui permet d’avoir de l’aide à distance sans avoir forcément l’interface simplifiée d’installée. C’est notre grosse évolution produit qui va, je pense, nous permettre d’avoir plus d’acquisitions. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’Aube est un très bon territoire d’expérimentation et ça a une valeur qui est super importante pour tester son marché, son produit à petite échelle, et ensuite pouvoir le déployer à plus grande échelle. Ensuite, je dirai que le fait d’être dans un écosystème aubois et pas trop vaste fait qu’on est rapidement en contact avec les bonnes personnes. C’est aussi une force de la Technopole de nous mettre en contact avec les acteurs économiques du coin. Un mot pour un futur entrepreneur ? Je dirai de ne pas hésiter à se lancer en étant entouré des bonnes personnes. Je pense que c’est le plus important, et il n’y a pas de raison pour que ça ne fonctionne pas donc let’s go ! Retrouvez l’interview de Pauline, co-fondatrice de la start-up Coyali, ci-dessous.

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17 septembre 2024

Game of Brain 2024 : l’expérience parfaite pour booster sa start-up

Game of Brain revient pour sa 16ème édition le vendredi 15 et samedi 16 novembre 2024 grâce au YEC (Young Entrepreneur Center), notre incubateur étudiant, et à ses partenaires Pépite et Enactus ! Cet événement annuel permet de booster les projets d’étudiants entrepreneurs. Pendant 1 journée et demie, 11 start-up