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Découverte des start-up incubées, actualités institutionnelles, retour sur les événements passés et conseils pratiques pour vous lancer dans l’entrepreneuriat : c’est ici que vous passerez en revue toute l’actu’ de la Technopole de l’Aube en Champagne et de l’univers entrepreneuriat/innovation à Troyes.

                

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19 juin 2024

Lancement du Cluster Innovation Web3\IA

Au début de l’année 2024, les bonnes nouvelles se sont enchaînées pour la Technopole de l’Aube en Champagne ! Au niveau national, nous avons eu le plaisir d’apprendre que le label « Technopole » accordé par Retis a été renouvelé. Au niveau régional, c’est le label Incubateur d’Excellence accordé par la Région Grand Est qui a également été renouvelé.

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19 juin 2024

A la découverte de la start-up… Maat Data !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Trouver des solutions pour optimiser le tri et le recyclage, c’est la mission de Valentin Millot avec Maat Data. C’est quoi ta start-up ? Chez Maat Data, on développe des logiciels et des applications mobiles à destination du secteur du tri et du recyclage des déchets. Parle-nous de ton innovation ? L’innovation dans ce secteur réside dans notre capacité à venir stimuler le taux de collecte, au travers d’applications, comme notre premier projet Savaoo, qui viennent stimuler le taux de collecte de tous les déchets du quotidien. Tes expertises avant d’être incubé ? Je viens du monde du recyclage, j’étais responsable commercial. C’est de là que nous est venue l’idée avec mon associée Laure de créer cette start-up, pour venir régler un constat métier. Un constat de base, c’est que nos déchets ne sont pas suffisamment collectés pour être recyclés. Que t’apporte notre accompagnement ? Je suis incubé depuis la création de Maat Data il y a bientôt 4 ans. La technopole m’a énormément apporté autour de notre stratégie de communication. Elle nous a aidés à aller toucher des grands médias nationaux pour Savaoo. Elle nous a aussi aidés à nous structurer, à aborder des questions de levées de fonds… Les prochaines évolutions dans ton secteur ? Les prochaines évolutions qui vont arriver sont l’intelligence artificielle et la reconnaissance photo et vidéo. On utilise depuis toujours le machine learning mais les dernières avancées permettent des choses encore plus phénoménales. En une simple photo on pourra dorénavant faire le diagnostic d’un objet du quotidien et savoir s’il est réparable ou si on doit le mettre à recycler. Tes peurs avant d’entreprendre ? J’avais la crainte de la jeunesse, de manquer d’expérience. C’est une crainte que j’ai totalement dépassée grâce aux conseils de la Technopole, des experts et aussi de mes associés. J’ai pu aller au-delà de ça et développer mes compétences. Aujourd’hui, je me sens totalement épanoui et je n’ai plus peur de manquer d’expérience ou de quoique ce soit pour relever de nouveaux challenges. Ton dernier succès/flop ? Le dernier succès ça a été un contrat à envergure nationale pour le projet Savaoo avec le groupement Les Mousquetaires. On a pu déployer la solution dans 2 200 points de vente, on a permis le recyclage de 20 000 déchets et on a touché 30 000 utilisateurs en l’espace de 6 mois. En revanche, le dernier flop est le fait que l’on n’ait pas renouvelé le contrat avec le groupement Les Mousquetaires. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? On peut entreprendre pour être libre, pour pouvoir gérer soi-même ses projets, pour continuer de rêver… Entreprendre parce que c’est stimulant et que ça nous rend vivant. Entreprendre dans l’Aube parce qu’il y a tous les outils, on est à proximité des grandes villes donc on a tout l’écosystème qui est paré pour. Ici à Troyes, on est dans une ville qui est à taille humaine ; partager avec les autres c’est un des […]

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18 juin 2024

A la découverte de la start-up… Tanama !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Associer mobilier durable et bien-être au travail, c’est le défi d’Emeline Bosset, fondatrice de la start-up Tanama.  C’est quoi ta start-up ? Tanama c’est du mobilier durable pour la santé des travailleurs.  Parle-nous de ton innovation ? C’est du mobilier ergonomique qui s’adapte aux nouveaux modes du travail qui ont récemment beaucoup changés. L’innovation se tient aussi dans la fabrication qui se veut durable et écologique.  Tes expertises avant d’être incubée ? Je suis designer de formation. Mon expertise est dans la création de produits pour répondre à un besoin existant sur le marché.  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Je suis accompagnée par la Technopole depuis mars 2023 et ça m’a apporté un complément de connaissance sur la gestion d’entreprise et le développement d’un business. Les prochaines évolutions dans ton secteur ? Le mobilier de bureau génère 250 000 tonnes de déchets chaque année. L’évolution va être de traiter ces déchets et d’en faire de nouveaux mobiliers en les transformant, en utilisant l’éco-conception et des modes de fabrication innovants, ce qui fait partie de l’évolution de Tanama. Tes peurs avant d’entreprendre ? Avant d’entreprendre j’avais peur de me lancer avec une marque puisque je suis designer et maitrisais uniquement la partie création de produit.   Ton dernier succès/flop ? Le dernier succès c’est au lancement du bureau de télétravail Tanama que j’ai présenté lors du salon WorkSpace Expo et où nous avons eu beaucoup de retours positifs et c’était super pour commencer. Le dernier flop est aussi associé au lancement qui s’est fait avec un financement participatif en crowdfunding et l’outil n’était pas forcément adapté, donc ça n’a pas marché. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’Aube est un territoire à taille humaine. C’est assez facile de se faire un réseau et de rencontrer les bonnes personnes morales et physiques pour développer son entreprise.  Un mot pour un futur entrepreneur ? Osez entreprendre, osez développer votre idée. S’il y a des choses que vous ne savez pas faire au début, vous apprendrez à les faire en cours de route !   Retrouvez l’interview vidéo de Emeline, fondatrice de la start-up Tanama, ci-dessous. 

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18 octobre 2024

A la découverte de la start-up… Inöuqa !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.  Camille Losset, avec Inouqa, vise à promouvoir l’autonomie des enfants avec un jeu de construction géant. C’est quoi ta start-up ? Inöuqa c’est un jeu de construction géant pour les enfants de 3 à 9 ans. C’est un jeu modulable qui permet de construire des cabanes sans mode d’emploi. C’est pour stimuler l’imagination, la motricité et l’autonomie des enfants. Parle-nous de ton innovation ? Alors Inöuqa est une innovation puisqu’il y a des choses qui existent aujourd’hui, des jeux de construction qui sont parfois complexes : avec des tiges en bois, des petits bouts à mettre et donc sans les parents l’enfant ne peut pas jouer, donc nous on avait vraiment envie d’apporter une solution qui soit comme magique et que l’enfant puisse l’utiliser tout seul. Tes peurs avant d’entreprendre ? J’avais pas mal d’appréhensions à entreprendre. Ce qui est plus simple aujourd’hui chez Inouqa, c’est que c’est une start-up familiale puisqu’on est deux cofondateurs : mon mari Benoît et moi-même. Je pense qu’entreprendre à deux est quand même plus facile, mais ce n’est pas toujours évident d’entreprendre en couple, puisqu’il faut être capable de ne pas tout mélanger et de bien se répartir les tâches. Ça c’est une peur qu’on avait avant. On connaissait nos forces, notre complémentarité et je pense qu’aujourd’hui on a réussi à structurer l’entreprise et à chacun avoir ses responsabilités pour que finalement cette appréhension soit dissipée. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? La meilleure raison d’entreprendre c’est d’être satisfait du travail accompli. Je pense qu’aujourd’hui si l’entreprise fonctionne c’est en partie grâce à notre travail mais en même temps si l’entreprise ne fonctionne pas c’est à cause de nous. Pouvoir être en charge de son succès c’est super enrichissant. Entreprendre ça vous permet aussi de toucher à tout. Moi je sais que j’ai une nature de couteau suisse et j’avais besoin d’avoir un quotidien varié. Et entreprendre dans l’Aube particulièrement, parce que c’est un territoire super dynamique et surtout très bienveillant. Et surtout on se sent écouté, on n’est pas dans un brouhaha de start-up où on ne sait pas à qui parler. Un mot pour un futur entrepreneur ? Il y a une citation d’Albert Einstein que j’aime beaucoup : “Au sein de toutes les difficultés se cache toujours une opportunité”. Je pense que ce qui est très important c’est de réussir à comprendre que lorsqu’on entreprend ça va être difficile, il va y avoir des ratés, il va y avoir des choses qui ne vont pas se passer comme prévu. C’est le lot de toutes les start-up et de tous les entrepreneurs aujourd’hui. Mais il faut réussir à ne pas lâcher, à ne pas baisser les bras. On a tous parfois envie de se dire « je passe à autre chose, je ne le fais pas, c’est une mauvaise idée”. Mais il ne faut pas faire ça. Et peut-être un deuxième conseil : entreprendre à plusieurs c’est toujours plus facile. En tout […]

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18 octobre 2024

A la découverte de la start-up… Coyali !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.  Rendre le numérique accessible par la technologie, c’est l’engagement de Pauline Beuchillot, co-fondatrice de Coyali. C’est quoi ta start-up ? Pauline Beuchillot, je suis co-fondatrice de Coyali. C’est une solution pour simplifier l’utilisation des outils numériques pour les personnes qui rencontrent des difficultés dans leur utilisation. Parle-nous de ton innovation ? Coyali c’est une innovation parce qu’aujourd’hui il y a beaucoup de solutions qui existent, mais qui sont des solutions matérielles dans la simplification des outils numériques. Nous on est une des premières solutions “logiciel” qui propose aussi l’aide à distance ou par les proches. C’est en ce sens qu’on est différenciants et innovants. Tes expertises avant d’être incubé ? Avant d’être incubée à la Technopole de l’Aube en Champagne j’ai fait du conseil pendant trois ans, notamment accompagner des grands groupes dans leur transformation digitale et créer de l’innovation en interne. J’ai un peu rassemblé les deux compétences, les deux expertises aussi et je les ai mises au service du projet Coyali. Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Vous apportez déjà une structure, un accompagnement sur les premiers pas dans l’entrepreneuriat : comment structurer un business plan, comment structurer son marché, préparer les documents structurants pour aller chercher des premiers financements, et surtout des mises en relation avec le réseau de professionnels qui gravitent autour de la Technopole, des autres entrepreneurs qui nous partagent leurs expériences. C’est ce qui nous a beaucoup aidé pour le démarrage.  Les prochaines étapes pour ta start-up ? Les prochaines étapes de Coyali : la première c’est la sortie de notre nouvelle version de l’application. Jusqu’à présent, on avait une interface simplifiée pour les personnes en difficulté avec le numérique, et une application qui permet d’aider à distance son proche : c’était indissociable. Là on est en train de sortir une version qui permet d’avoir de l’aide à distance sans avoir forcément l’interface simplifiée d’installée. C’est notre grosse évolution produit qui va, je pense, nous permettre d’avoir plus d’acquisitions. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’Aube est un très bon territoire d’expérimentation et ça a une valeur qui est super importante pour tester son marché, son produit à petite échelle, et ensuite pouvoir le déployer à plus grande échelle. Ensuite, je dirai que le fait d’être dans un écosystème aubois et pas trop vaste fait qu’on est rapidement en contact avec les bonnes personnes. C’est aussi une force de la Technopole de nous mettre en contact avec les acteurs économiques du coin. Un mot pour un futur entrepreneur ? Je dirai de ne pas hésiter à se lancer en étant entouré des bonnes personnes. Je pense que c’est le plus important, et il n’y a pas de raison pour que ça ne fonctionne pas donc let’s go ! Retrouvez l’interview de Pauline, co-fondatrice de la start-up Coyali, ci-dessous.

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17 septembre 2024

Game of Brain 2024 : l’expérience parfaite pour booster sa start-up

Game of Brain revient pour sa 16ème édition le vendredi 15 et samedi 16 novembre 2024 grâce au YEC (Young Entrepreneur Center), notre incubateur étudiant, et à ses partenaires Pépite et Enactus ! Cet événement annuel permet de booster les projets d’étudiants entrepreneurs. Pendant 1 journée et demie, 11 start-up Pépite vont faire évoluer leur projet au maximum aux côtés d’étudiants troyens et d’experts. Un bon moyen pour chacun de travailler ses soft skills et hard skills intensément et de s’immerger dans le monde de l’entreprenariat grâce à cette expérience unique. Pour y participer, il suffit aux étudiants de suivre le lien suivant : Pour les porteurs de projet, il existe deux prérequis : être étudiant-entrepreneur et faire partie du réseau Pépite France. Les inscriptions se terminent le 18 octobre pour les entrepreneurs. Une grande nouveauté arrive cette année pour cet événement : Le Studio. C’est un douzième groupe qui aura la possibilité de créer un projet de A à Z, et qui sera épaulé par un mentor. C’est l’occasion rêvée de faire naître une idée novatrice et de mettre à rude épreuve la créativité des étudiants. Les trois équipes lauréates, au delà de l’expérience humaine et professionnelle, repartiront avec une récompense financière allant de 1000 à 3000 euros.  Le programme se divise en plusieurs parties : Samedi : Dimanche : Alors, qui osera relever le défi ? Plus d’informations sur la page dédiée à Game of Brain !

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15 juillet 2024

A la découverte de la start-up… Namkin !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Intégrer les sciences de gestion et la technologie au marketing industriel B2B, c’est l’expertise de Nicolas Declercq, fondateur de Namkin.  C’est quoi ta start-up ? Chez Namkin on est spécialisé sur le métier marketing industriel avec une logique MarTech, c’est-à-dire des sciences de gestion et de la technologie liées au marketing avec un spécialité B2B.  Parle-nous de ton innovation ? Depuis 2015 on a traversé, et on continue à le faire, la quatrième révolution industrielle (l’industrie 4.0). Toutes les évolutions qu’amène cette transformation majeure font que les métiers changent. Ça nous oblige à être innovant sur ce métier, qui n’était pas très bien fait en mode 3.0 et notre rôle est de le réinventer en 4.0.  Tes expertises avant d’être incubé ? J’avais une spécialité dans le monde de l’aéronautique, au fur et à mesure des années j’ai terminé Directeur d’une Business Unit dans l’aéronautique. C’est en exerçant ce poste que j’ai réalisé que ce métier avait une vraie difficulté à être bien fait. J’ai lancé Namkin parce que j’ai réalisé que ce que j’ai pu créer au cours de ces 18 ans de carrière pouvait être réplicable à pleins de sociétés.  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? On est incubé à la Technopole depuis 2017. La technopole nous a accordé sa confiance dans le projet Namkin et nous a montré qu’elle croyait en notre croissance. Ici, on a accès à un écosystème start-up qui est important pour financer l’innovation et rencontrer des partenaires.  Les prochaines évolutions dans ton secteur ? En ce moment, l’Intelligence Artificielle prend beaucoup d’ampleur. Les premiers utilisateurs nous demandent d’intégrer l’IA générative sur notre plateforme, donc nous serons obligés d’investiguer sur ce type d’objet technologique  Tes peurs avant d’entreprendre ? Au moment d’entreprendre j’ai sondé plusieurs de mes amis et tous m’ont encouragé à le faire. Ils m’ont beaucoup rassuré sur tous les doutes que j’ai pu avoir. Je me suis lancé puis j’ai franchi les étapes, parfois difficilement et parfois assez naturellement.  Ton dernier succès/flop ? C’est le lancement de notre plateforme SAS fonctionnant avec l’IA. C’est une plateforme de marketing intelligent qui nous permet d’avoir un potentiel de scalabilité. Mon flop serait que j’ai postulé à Scal’E-nov et je n’ai pas été bon sur mon pitch.  Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? C’est beaucoup de libertés et de possibilités. Il y a pleins de bonnes raisons d’entreprendre à partir du moment où l’on est connecté un écosystème auquel on est sensible et qu’on aurait une envie de l’améliorer.  Un mot pour un futur entrepreneur ? Il faut douter ! Garder ses doutes ça permet de se poser des questions, et lorsqu’on arrive à répondre à ces questions on résout alors des problèmes. Il faut avoir cette âme là car c’est une bonne base pour créer de la valeur. En créant de la valeur vous aurez déjà un premier pied dans l’entrepreneuriat !  Retrouvez l’interview de Nicolas, fondateur de la start-up Namkin, ci-dessous.

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15 juillet 2024

A la découverte de la start-up… Chaff !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Transformer les déchets en formulations cosmétiques pour des produits d’hygiène de la peau, c’est le pari d’Axel Molines, co-fondateur de Chaff.  C’est quoi ta start-up ? Chaff est une marque de skincare (soins pour la peau). Ces produits sont dédiés aux peaux qui évoluent en zone urbaine pouvant développer des problèmes dus à la pollution, le stress, le manque de sommeil… L’idée c’est de répondre à ce besoin en développant des ingrédients innovants à partir de déchet ; on utilise le marc de café pour produire des ingrédients et des actifs très concentrés.   Parle-nous de ton innovation ? Chaff c’est une des seules marques françaises qui développe une partie de ses ingrédients qu’on retrouve dans ses formulations. On a commencé avec le marc de café, on y a extrait son huile pour le réimplémenter dans des formules de cosmétiques.  Tes expertises avant d’être incubé ? On a commencé en étant étudiants, les compétences qu’on avait sont celles que l’on a acquises à l’École. On a démarré sans rien, si ce n’est de la motivation, ce qui nous a permis d’apprendre sur le tas.  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? On est accompagnés à la Technopole depuis un an et demi. On a commencé au Young Entrepreneur Center (YEC, l’incubateur étudiant). A partir de début 2023, on a passé le collège d’incubation de la Technopole. Il y un écosystème, des évènements… c’est un vrai plus pour commencer ! Au niveau de l’accompagnement, les start-up managers de la Technopole nous apportent des conseils sur l’entrepreneuriat (le Business Model, les aides de la région…).  Les prochaines évolutions dans ton secteur ? C’est upcycler les déchets pour en faire des ressources. On est qu’au commencement, on exploite le café mais il reste beaucoup d’autres déchets… c’est dommage de jeter des éléments sans se rendre compte qu’ils peuvent faire 2/3 de la matière des actifs présents. Je pense que c’est le futur de la cosmétique de prendre ces ressources et de les utiliser en formulations.   Tes peurs avant d’entreprendre ? On avait la chance d’être étudiants et personnellement j’attendais ce moment depuis longtemps. Ce que j’appréhendais c’était que l’on me considère moins dans l’entrepreneuriat du fait de mon jeune âge. J’ai surpassé cette peur en me lançant et en voyant que tout se passait bien à ce niveau-là.  Ton dernier succès/flop ? On a eu un gros pivot il y a quelques mois. On a commencé en valorisant le marc de café en granules de chauffage. Aujourd’hui on est une marque de cosmétique donc on a fait un grand pas en avant. C’est à la fois un échec mais c’est aussi pour le meilleur !  Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? Ça peut être par vocation ou bien par passion mais si vous pensez que vous êtes faits pour ça, alors il faut y aller ! Mes associés et moi considérons que dans l’Aube il y a de la place à prendre et on nous fait de […]

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15 juillet 2024

A la découverte de la start-up… Pikkopay !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Faciliter les courses en supermarché en permettant de scanner les articles directement avec son téléphone pour éviter les files d’attente, c’est l’innovation d’Alexandre Chen, co-fondateur de la start-up Pikkopay.  C’est quoi ta start-up ? On s’attaque à la problématique de file d’attente dans les magasins et pour ça on a développé une solution d’encaissement qui permet aux clients de ne plus faire la queue en magasin.  Parle-nous de ton innovation ? Le client entre dans le magasin et scanne un QR code. A partir de là il peut scanner n’importe quel produit qui possède un code barre. Une fois qu’il a scanné il peut payer directement sur son téléphone avec les cartes bleu, les cartes restaurants, Apple Pay, Google Pay et une fois que le client a payé il peut sortir du magasin sans faire la queue. L’innovation c’est de permettre à n’importe quel téléphone avec une simple caméra de pouvoir scanner ses produits et payer tout simplement sans faire la queue.   Tes expertises avant d’être incubé ? J’ai fait une école d’ingénieurs spécialisée plutôt dans les nouvelles énergies donc rien à voir ! En école d’ingénieurs on apprend à résoudre des problèmes et aujourd’hui c’est ce qu’on fait.  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Je suis accompagné depuis septembre 2022 suite à Plug&Start. On a été accompagnés par pas mal d’experts. On a pu faire notre première expérimentation sur Troyes avec un Carrefour Contact. Suite à ça, ça a décollé, aujourd’hui on a plusieurs expérimentations en cours : avec Intermarché, avec Netto, avec d’autres Carrefour aussi…  Les prochaines évolutions dans ton secteur ? La prochaine évolution qui va arriver est le fait de payer avec la carte bleue sur le téléphone en sans contact. Ça va être dans le sens de Pikkopay parce qu’un client pourra aussi très bien utiliser son téléphone pour scanner ses produits et payer en sans contact avec sa carte bleue sur son téléphone. Technologiquement, je pense que c’est faisable, derrière la question c’est : est-ce que les lois le permettront ? Moi je pense que oui.  Tes peurs avant d’entreprendre ? C’était la peur d’entreprendre ! Je sortais tout juste de l’école, j’avais pas trop d’expérience, je me suis demandé si je devais prendre ce risque de me lancer… Moi j’étais ingénieur, j’ai donc dû apprendre le marketing, la partie commerciale, gérer tout ce qui est trésorerie… Très vite on se rend compte qu’il faut suivre ce que l’on a envie de faire et c’est là où on devient le meilleur. En ayant démarré Pikkopay, j’ai surmonté la peur d’entreprendre.  Ton dernier succès/flop ? D’avoir pu expérimenter avec Intermarché. On a eu de très bons retours, en une semaine on a fait plus de 30 avis positifs sur le Google de l’Intermarché. Et, on n’a pas de flop !  Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? On a aussi nos bureaux qui sont à Paris. Dans la façon dont on s’adresse aux clients, ici à Troyes, on remarque qu’ils […]

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01 juillet 2024

A la découverte de la start-up… Supairvision !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. . Optimiser l’inspection des pales d’éolienne par drone, c’est l’objectif de Sébastien Arnould, fondateur de la start-up Supairvision.  C’est quoi ta start-up ? On fait de l’inspection de pales d’éolienne par drone. Ce sont des drones que l’on invente et développe, par la suite on inspecte les pales d’éolienne en France, en Europe et maintenant dans le monde.  Parle-nous de ton innovation ? Nous avons apporté le drone dans la filière éolienne pour remplacer les techniciens cordistes qui avant descendaient en rappel le long des pales pour réaliser les inspections. Le drone permet des inspections en sécurité. Nous avons développé un drone, Sherlock, qui fait des inspections photo des pales. Nous avons également lancé Volta qui est une innovation mondiale, brevetée, qui permet de tester le chemin de foudre des pales, puis Clarity pour le diagnostic des structures des pales d’éoliennes.  Tes expertises avant d’être incubé ? J’étais journaliste à la base puis photographe, j’étais pilote de drone en 2013. Donc le drone et l’image !  Ça t’apporte quoi notre accompagnement ? Essentiellement de la structuration, le réseau… J’avais déjà créé des structures auparavant mais avec le projet Supairvision j’avais bien conscience de m’attaquer à un gros marché avec beaucoup de R&D. J’avais besoin d’accompagnement pour organiser les idées et le développement.  Les prochaines évolutions dans ton secteur ? La prochaine évolution technologique est déjà en cours, c’est l’automatisation. Sur la partie robotique on travaille avec le vol automatique de drone autour ou devant la pale d’éolienne. Pour la partie data, l’évolution est l’Intelligence Artificielle qui permet d’aller plus vite dans la détection des défauts mais aussi de reconstruire chaque pale d’éolienne sur la base de nos images pour apporter plus d’ergonomie.  Tes peurs avant d’entreprendre ? C’était d’assumer un projet d’envergure qui avait vocation à construire une équipe et à se développer dans plusieurs pays.  Ton dernier succès/flop ? Les flops je ne les garde pas longtemps en tête. Le dernier succès est le fait que l’équipe revienne du Brésil. C’était notre première grosse destination lointaine. On a maintenant une implantation brésilienne totalement fonctionnelle.  Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? L’Aube est un département bien placé, bien connecté. Il y a tout l’écosystème entrepreneurial à disposition. Donc il ne manque rien, il faut venir entreprendre dans l’Aube !  Un mot pour un futur entrepreneur ? Foncez  ! Il faut y aller, il faut créer, il faut tester. On ne peut pas savoir ce qu’on a dans le ventre avant d’avoir testé, donc il faut le faire et ne pas avoir de regrets.  Retrouvez l’interview vidéo de Sébastien, fondateur de la start-up Supairvision, ci-dessous. 

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25 juin 2024

Au cœur de l’entrepreneuriat avec Plug&Start 2024 ! 

La 29ème édition de Plug&Start, qui s’est tenue les 12, 13 et 14 juin 2024, a marqué les esprits par son dynamisme et son engagement envers l’innovation. Cet événement annuel, connu pour son intensité et son engagement envers l’entrepreneuriat, a pour but de challenger les participants et de les aider à faire mûrir leurs idées pour qu’ils puissent transformer leurs projets en entreprises pérennes. Comme chaque année, Plug&Start a rassemblé 20 projets innovants et prometteurs des 4 coins de la France.  La première journée a débuté par l’accueil des candidats et de leurs mentors, des chefs d’entreprises expérimentés assignés à chaque projet en cohérence avec leur propre secteur d’activité. Après une session de travail matinale et un débriefing, les participants ont assisté à des ateliers techniques collectifs couvrant divers domaines tels que le pitch, le design, la finance, le développement commercial B2B, la propriété intellectuelle, et le marketing digital. La journée s’est clôturée par notre conférence annuelle sur l’entrepreneuriat : « Entrepreneuriat et Innovation : s’inspirer de ceux qui réussissent », tenue dans l’arène de Y SCHOOLS. Notre invité de renom, Jean-Pierre Nadir, fondateur d’Easyvoyage, de FairMoove, investisseur et membre du jury de l’émission « Qui veut être mon associé ? » sur M6, a partagé son expérience et ses conseils entrepreneuriaux. Trois dirigeants de start-up incubées dans notre établissement, Camille Losset co-fondatrice d’Inöuqa, Axel Molines co-fondateur de Chaff, et Thierry Gahamanyi fondateur de Magma Energy, y ont également exposé leurs parcours. La journée s’est terminée au bar le Juvenal de Troyes, offrant un moment convivial entre porteurs de projets et l’équipe Plug&Start.  Le deuxième jour, nos porteurs de projets ont cette fois-ci assisté à des ateliers techniques individuels, suivis d’interventions d’experts en finance, droit, et marketing. L’après-midi, les entrepreneurs ont rencontré des représentants de grands comptes de divers secteurs, tels que Petit Bateau, Orange, Banque Populaire… La journée s’est achevée par la soirée Networking dans le cloître de l’École Supérieure de Design de Troyes, où a été annoncé notre Cluster InnovatioWEB3/IA (https://technopole-aube.fr/clusters/web3-ia). Nos partenaires ont pu prendre la parole : Tawhid Chtioui (Président et fondateur de aivancity), Sarah Palluel (Directrice Générale adjointe de l’ETAC Troyes), et Samuel Dumas (fondateur d’Acadee).  La dernière journée a été consacrée à un atelier pitch suivi du tournage des vidéos pitch. Les entrepreneurs ont ensuite présenté leurs projets devant un jury. La cérémonie de remise des prix a récompensé les projets suivants :   Tout au long de Plug&Start, nos participants ont bénéficié de séances de portraits professionnels réalisées par Le Bonheur des Gens. Les repas ont été finement préparés par le traiteur Maison Branche. Et, c’est HZ Événementiel qui a assuré l’organisation technique de l’évènement sur ces 3 journées (sonorisation, mise en lumière…).  L’édition 2024 de Plug&Start a servi de tremplin pour le développement et l’innovation, tant pour les participants que pour le territoire. Rayhane El Khourouj, porteur du projet Uncia, a exprimé sa gratitude envers l’organisation de l’événement : « Merci à toute l’organisation Plug&Start pour ces 3 jours très riches en apprentissage, en rencontres et en échanges. Je tenais […]

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06 mai 2024

Booster votre projet grâce au Cluster Innovation Industrie 4.0 !

Au début de l’année 2024, les bonnes nouvelles se sont enchaînées pour la Technopole de l’Aube en Champagne ! Au niveau national, nous avons eu le plaisir d’apprendre que le label « Technopole » accordé par Retis a été renouvelé. Au niveau régional, c’est le label Incubateur d’Excellence accordé par la Région Grand Est qui a également été renouvelé.

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26 avril 2024

A la découverte de la start-up… Handivisible !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. On découvre l’histoire de la start-up Handivisble et sa fondatrice Maïté Ferdinand C’est quoi ta start-up ? Handivisible est une start-up qui a 2 ans et qui facilite le passage des personnes en situation de handicap dans les files d’attente de n’importe quel établissement recevant du public. Parle-nous de ton innovation Handivisible est née d’une situation personnelle et c’est une solution qui est complétement innovante. J’ai cherché avant de lancer ma start-up et rien de tel n’existait sur le marché pour faciliter le passage des personnes en situation de handicap. Que t’apporte notre accompagnement ? Ça fait 2 ans et demi que je suis incubée à la Technopole et c’est toujours appréciable d’avoir quelqu’un sur qui on peut compter lorsqu’on a des questions, des doutes, des sujets divers sur l’entrepreneuriat. Et c’est le rôle que ma chargée d’accompagnement remplit au mieux. Une bonne raison d’entreprendre ? Entreprendre c’est avant tout une aventure personnelle. Ça permet de se découvrir, de découvrir tout un tas de choses qu’on ne connaissait pas, tout un tas de personnes aussi. C’est une belle aventure humaine et une belle aventure sur soi aussi. Un mot pour un futur entrepreneur ? Fonce ! 😉 Retrouvez l’interview vidéo de Maïté, fondatrice de la start-up Handivisible, ci-dessous.

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26 avril 2024

A la découverte de la start-up… MAGMA Energy ® !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. Thierry Gahamanyi, le fondateur de Magma Enery nous parle de sa start-up ! Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? Je ne suis pas aubois d’origine et je suis venu parce qu’il y avait la Technopole. Ca s’est avéré être une opportunité dans la mesure où non seulement j’avais accès à cet accompagnement, à cet écosystème de développement qui pousse tout entrepreneur à aller de l’avant. Mais aussi parce que j’avais une proximité vis-à-vis de ma clientèle. C’est cet écosystème qui fait que l’Aube est parmi les départements les plus en avance sur la méthanisation, sur la production du biogaz et qui fait que je sois là. Tes peurs avant d’entreprendre ? En fait je n’imaginais pas du tout entreprendre pour être franc. J’avais bien l’idée mais j’étais dans une bonne situation, avec une carrière toute tracée. Mais à un certain moment je me suis dit « c’est pas assez ». C’est pas assez parce qu’en fait au fond de moi il y avait cette envie de pouvoir faire des choses. Cette envie qui dit « il faut y aller ». Les peurs qu’on peut avoir sont d’abord la perte de revenu. Avant j’avais un salaire, une bonne situation, je fais quoi demain ? Ce qui se rajoute aussi en tant que père de famille, c’est qu’on a d’autres responsabilités, c’est se dire que ça ne dépend pas que de nous. C’est donc une peur à surmonter soi-même mais c’est aussi à surmonter avec son entourage. C’est quoi ta start-up ? Magma Energy est la première centrale d’achat dédiée aux producteurs des énergies renouvelables. L’idée est de regrouper tous les besoins en équipement et services des producteurs de biogaz du monde agricole sur une seule et même plateforme. Le but est de leur faire gagner du temps, de l’argent, plus de visibilité et de leur permettre d’optimiser les coûts de leur exploitation. Parle-nous de ton innovation C’est une innovation de service. C’était la première fois qu’on arrivait à mettre tous ces services, tous ces besoins sur une plateforme unique. On a plus de 200 fournisseurs qui viennent du monde entier. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? C’est une belle expérience, c’est un endroit unique. On arrive à avoir un contact avec de nombreux acteurs. Je sais que si je veux un spécialiste en marketing ou en comptabilité par exemple, je n’ai qu’à envoyer un mail et on me donnera le nom de la bonne personne. C’est tous ces éléments dont on a besoin en tant qu’entrepreneur car on a 50 000 choses à faire et on ne peut pas être bon partout. On a besoin de cet écosystème qui nous accompagne. Mais c’est aussi car ici on peut discuter avec d’autres entrepreneurs qui ont les mêmes conditions que nous, les mêmes soucis, les mêmes problématiques ! Ton dernier succès/ton dernier flop ? Combien d’heures il y a dans une journée ? Il y en a 24 et il y a 24 succès et […]

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26 avril 2024

A la découverte de la start-up… H’ability !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. Lier la réalité virtuelle et la santé, c’est la mission de Marie-Odile McKeeney, co-fondatrice de la start-up H’ability C’est quoi ta start-up ? H’ability est une solution de réalité virtuelle à destination de la rééducation. On créé des expériences de réalité virtuelle pour les patients, pour que ce soit plus motivant, que ça paraisse comme des jeux, mais en réalité on y masque des exercices de rééducation. Toutes ces expériences peuvent être paramétrées au niveau du patient grâce à la plateforme web qu’on a à côté et qui est à destination des professionnels de santé. Parle-nous de votre innovation La réalité virtuelle est déjà utilisée en rééducation, on a d’autres concurrents sur ce marché. Mais nous ce qu’on va apporter c’est vraiment une innovation en termes d’usage, parce qu’on est sur une solution portable qui est à destination de plusieurs professionnels de santé : les ergothérapeutes aussi bien que les kinésithérapeutes. Surtout, on veut s’inscrire comme une solution qu’on va pouvoir retrouver dans différents types d’établissements : les hôpitaux, les centres de rééducation et les cabinets libéraux. Et on veut être la solution qui va accompagner le patient dans tout son parcours rééducatif. Tes expertises avant d’être incubé ? Avec Bérengère Henrion, qui est mon associée, on est toutes les deux ingénieures de formation. Moi je suis en particulier ingénieure informatique donc j’avais déjà cette compétence sur le développement informatique et la réalité virtuelle, puisque c’est une technologie qui me plaît depuis longtemps. Mais c’est vrai qu’on a dû apprendre beaucoup de choses sur la gestion d’entreprise et sur énormément d’aspects commerciaux, juridiques et réglementaires parce qu’on est un dispositif médical. Ca t’apporte quoi notre accompagnement ? On est incubées à la Technopole depuis 2021. Cela nous a permis de profiter du Comité Santé et donc de rentrer en contact avec les structures adaptées dans l’Aube et d’avoir plus facilement d’échanges avec des professionnels de santé. Et ça, ça nous aide au co-développement de la solution. Les prochaines évolutions dans ton secteur ? Une prochaine évolution sur les aspects techniques pures de la boite : la réalité virtuelle fait partie de ce qu’on appelle la réalité étendue. Il existe également la réalité mixte qui va arriver et qui permet d’avoir accès à des objets en 3D dans notre environnement réel. On la surveille donc de près car elle est vraiment intéressante. Mais il y a aussi des points très intéressants à la réalité virtuelle qui permettent de réduire l’appréhension de la douleur, de réduire le ressenti de la douleur, qu’on veut garder. On est donc en train de voir à quel moment cette technique pourra avoir un aspect positif sur la rééducation des patients. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? C’est vraiment une région qui soutient les projets comme les nôtres et on va avoir accès à des contacts d’institutionnels plus rapidement que dans d’autres endroits. Il y a un réel avantage à ça. Un mot pour un futur entrepreneur ? Le […]

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26 avril 2024

A la découverte de la start-up… La Petite Madeleine !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. Parfumerie poétique et familiale, c’est au tour de la start-up La petite Madeleine et de Sophie Dufay, sa co-fondatrice, de se prêter aux questions d’Inside start-up. C’est quoi ta start-up ? La petite Madeleine c’est une marque de produits parfumés fabriqués dans l’Aube. On produit des parfums, des savons et des bougies. Parle-nous de votre innovation On a une façon de faire qui est un peu différente dans le secteur de la parfumerie. On a d’abord un bouchon qui est fait sans plastique, à partir de poudre de coquillages et de liège. Et notre façon de faire est différente dans le sens où tout est fait en circuit court dans l’Aube. Une vraie volonté de rapprocher au maximum les étapes et de valoriser les savoir-faire locaux. Tes peurs avant d’entreprendre ? Les peurs c’était principalement de savoir si le produit allait plaire, si l’entreprise serait viable. Ces peurs on apprend à vivre au quotidien avec et de les transformer en énergie positive et en motivation. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? Les écosystèmes locaux qui sont très dynamiques, que ce soit la Technopole ou d’autres réseaux auquel nous avons accès comme Scale E-nov ou Réseau Entreprendre. Mais aussi car nous sommes une entreprise familiale et c’est un choix de vie que de s’implanter dans l’Aube. C’est un cadre de vie qui est assez idéal, à la fois porteur d’un point de vue professionnel et rassurant d’un point de vue personnel. Un mot pour un futur entrepreneur ? Il y une citation d’Oscar Wilde qui dit « L’expérience c’est le nom qu’on donne à ses erreurs » et je pense que c’est vrai. Comment le « test and learn » se transforme en expérience ? Parfois des échecs et au final comment on retourne la situation pour prendre les choses d’une manière positive et avancer. Retrouvez son interview vidéo sur notre page Youtube :

Évènements

26 avril 2024

Retour sur l’After Tech du 29 février 2024

Chaque mois, la Technopole de l’Aube en Champagne organise une conférence ouverte à tous. Ces événements mensuels ont pour objectif de sensibiliser à l’innovation et à l’entrepreneuriat. Tous les mois, des intervenants choisis pour leurs expertises abordent une thématique différente. Le 29 février 2024, nous avons eu la chance d’accueillir Christophe Rolland et Corentin Rollot, Directeur général et Partner Development Manager de Be-Cloud, un Microsoft Partner. Cet After Tech s’intitulait « Travail collaboratif : l’IA, nouvel assistant augmenté du travail d’équipe ? ». Christophe et Corentin ont balayé les possibilités et méthodes de travail offertes par Copilot, l’assistant IA (Intelligence Artificielle) de Microsoft. « L’intelligence artificielle, c’est une Formule 1… » Sujet d’actualité par excellence, l’intelligence artificielle déchaine les passions (OK, les mythes parfois également). Le rôle d’une entreprise comme Be-Cloud est de permettre à votre entreprise de bénéficier d’un circuit adapté à votre écosystème et à vos collaborateurs pour faire rouler efficacement cette Formule 1. Ici, nous tentons de décrypter les constats effectués par Christophe et Corentin lors de cet After Tech. Premier point, « Aujourd’hui, lorsqu’on parle d’IA, on est surtout dans un sujet conversationnel ». L’agent conversationnel de Microsoft c’est donc Copilot. D’office, Copilot est « intégré dans Microsoft 365, la suite de travail collaboratif de Microsoft ». Cela n’aura échappé à personne : la démocratisation de l’intelligence artificielle conversationnelle a été provoquée par ChatGPT. En effet « « il a fallu 16 ans pour qu’il y ait 100 millions d’utilisateur du téléphone mobile… 7 ans pour Internet. 4 ans et demi pour Facebook. 3 mois pour Chat GPT… » ! Il s’agit donc d’une transformation voire d’un bouleversement ultra rapide.Cet After Tech fût l’occasion, pour ceux qui ne le savaient pas, d’apprendre que « la relation entre Microsoft et OpenAI était très forte » puisque « 49% des parts d’OpenAI sont détenus par Microsoft ». Et le circuit ? Quels utilisateurs choisir ? Comment les former ? Quels objectifs fixer ?  « Pour une entreprise, le profil des utilisateurs de l’intelligence artificielle est clé. Il faut s’appuyer sur plusieurs personnes qui portent un service. La formation est également cruciale ». Christophe et Corentin considèrent qu’il existe quatre types de profils utilisateurs de l’IA : L’enjeu de l’entreprise est donc de faire converger vers une vision commune l’ensemble de ces quatre profils en « définissant ensemble un lexique commun, une cible court et une cible moyen terme. » Une fois que les utilisateurs clés ont compris l’intérêt de l’intelligence artificielle. Il s’agit « d’en faire bénéficier toutes les équipes de mon entreprise ». Mais comment ? En déployant une roadmap ! Déployer la roadmap, c’est permettre aux collaborateurs de mon entreprise de : Et enfin, s’intégrer dans un système d’amélioration continue puisqu’il « y aura toujours des évolutions ». Focus sur la sécurité Des évolutions notamment en termes de sécurité. Parce que dans l’univers de l’intelligence artificielle, « il se passe quelque chose tous les jours. Ça va très vite et très fort : cela peut être perturbant ». Pour toute structure il apparaît comme primordial de « canaliser l’IA ». A qui j’envoie ma donnée, comment est-elle exploitée, sécurisée ? « C’est au cœur de tout » selon Christophe et Corentin. Et chez Microsoft « la donnée est à vous, […]

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26 avril 2024

A la découverte de la start-up… Ellipse Bikes !

Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne.Robin Gabuthy, le co-fondateur d’Ellipse Bikes, nous parle de sa start-up C’est quoi ta start-up ? Ellipse est fabricant français de vélos pour la ville et le voyage. Parle-nous de votre innovation On développe des vélos comme des véhicules complets, donc on intègre tout ce qu’on peut trouver sur des véhicules classiques (voiture, moto) : clignotants, feux stop et une partie alarme GPS. On travaille aussi à accessoiriser le domaine car c’est un manque en général pour plein de besoins très concrets. Donc on créé un écosystème complet. Tes peurs avant d’entreprendre ? En fait je n’avais pas trop de peurs particulières quand on a commencé parce qu’on était assez jeunes et naïfs. Au final avec le recul, je pense qu’on aurait pu avoir peur. La seule crainte qu’on avait c’était de savoir si ça allait marcher ou pas. Et une fois qu’on est lancés, on est dedans donc on n’a plus vraiment peur de quoi que ce soit. C’est juste qu’on suit le process. Tes expertises avant d’être incubé ? On est 3 co-fondateurs et on sortait d’école d’ingénieurs donc on avait des compétences plutôt techniques. Toute la partie entrepreneuriale, structuration, s’est fait vraiment sur le tard. Ca t’apporte quoi notre accompagnement ? On est accompagnés depuis 2020, depuis la création, et ça a surtout été de la structuration de projets, sur tous les aspects qu’ils soient financiers, comptables, RH, administratifs, etc. Également de la mise en relation avec les personnes qui sont en mesure de nous aider à développer le projet. Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ? Entreprendre d’une manière générale, je pense que toutes les raisons sont bonnes pour se lancer, dans n’importe quel domaine. Cela permet d’être animé par quelque chose et de se donner. Dans l’Aube en particulier car c’est un département ouvert, il y a beaucoup de choses à faire. Il y a un très bel écosystème et beaucoup de gens se connaissent et tout le monde s’entraide. C’est vraiment idéal pour se lancer. Un mot pour un futur entrepreneur ? Lance toi, ne te prends pas trop la tête, va à l’essentiel et tu trouveras des solutions en faisant ! Retrouvez son interview vidéo sur notre page Youtube

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14 mars 2024

Deux labels renouvelés pour la Technopole de l’Aube en Champagne !

Au début de l’année 2024, les bonnes nouvelles se sont enchaînées pour la Technopole de l’Aube en Champagne ! Au niveau national, nous avons eu le plaisir d’apprendre que le label « Technopole » accordé par Retis a été renouvelé. Au niveau régional, c’est le label Incubateur d’Excellence accordé par la Région Grand Est qui a également été renouvelé.

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