A la découverte de la start-up… Namkin !
Inside start-up, l’interview qui met en lumière les start-up incubées à la Technopole de l’Aube en Champagne. .
Intégrer les sciences de gestion et la technologie au marketing industriel B2B, c’est l’expertise de Nicolas Declercq, fondateur de Namkin.
C’est quoi ta start-up ?
Chez Namkin on est spécialisé sur le métier marketing industriel avec une logique MarTech, c’est-à-dire des sciences de gestion et de la technologie liées au marketing avec un spécialité B2B.
Parle-nous de ton innovation ?
Depuis 2015 on a traversé, et on continue à le faire, la quatrième révolution industrielle (l’industrie 4.0). Toutes les évolutions qu’amène cette transformation majeure font que les métiers changent. Ça nous oblige à être innovant sur ce métier, qui n’était pas très bien fait en mode 3.0 et notre rôle est de le réinventer en 4.0.
Tes expertises avant d’être incubé ?
J’avais une spécialité dans le monde de l’aéronautique, au fur et à mesure des années j’ai terminé Directeur d’une Business Unit dans l’aéronautique. C’est en exerçant ce poste que j’ai réalisé que ce métier avait une vraie difficulté à être bien fait. J’ai lancé Namkin parce que j’ai réalisé que ce que j’ai pu créer au cours de ces 18 ans de carrière pouvait être réplicable à pleins de sociétés.
Ça t’apporte quoi notre accompagnement ?
On est incubé à la Technopole depuis 2017. La technopole nous a accordé sa confiance dans le projet Namkin et nous a montré qu’elle croyait en notre croissance. Ici, on a accès à un écosystème start-up qui est important pour financer l’innovation et rencontrer des partenaires.
Les prochaines évolutions dans ton secteur ?
En ce moment, l’Intelligence Artificielle prend beaucoup d’ampleur. Les premiers utilisateurs nous demandent d’intégrer l’IA générative sur notre plateforme, donc nous serons obligés d’investiguer sur ce type d’objet technologique
Tes peurs avant d’entreprendre ?
Au moment d’entreprendre j’ai sondé plusieurs de mes amis et tous m’ont encouragé à le faire. Ils m’ont beaucoup rassuré sur tous les doutes que j’ai pu avoir. Je me suis lancé puis j’ai franchi les étapes, parfois difficilement et parfois assez naturellement.
Ton dernier succès/flop ?
C’est le lancement de notre plateforme SAS fonctionnant avec l’IA. C’est une plateforme de marketing intelligent qui nous permet d’avoir un potentiel de scalabilité. Mon flop serait que j’ai postulé à Scal’E-nov et je n’ai pas été bon sur mon pitch.
Une bonne raison d’entreprendre dans l’Aube ?
C’est beaucoup de libertés et de possibilités. Il y a pleins de bonnes raisons d’entreprendre à partir du moment où l’on est connecté un écosystème auquel on est sensible et qu’on aurait une envie de l’améliorer.
Un mot pour un futur entrepreneur ?
Il faut douter ! Garder ses doutes ça permet de se poser des questions, et lorsqu’on arrive à répondre à ces questions on résout alors des problèmes. Il faut avoir cette âme là car c’est une bonne base pour créer de la valeur. En créant de la valeur vous aurez déjà un premier pied dans l’entrepreneuriat !
Retrouvez l’interview de Nicolas, fondateur de la start-up Namkin, ci-dessous.